BELÇIKA SINIRI AŞIYOR/ Kenan Arı

Fransa'dan sonra Belçika da sözde Ermeni soykırımını inkarı suç sayan yasayı meclise taşıyor. Yasa onaylanırsa, ülkedeki 250 Türk politikacı ağır ceza alacak. Sözde Ermeni soykırım

Fransa'dan sonra Belçika da sözde Ermeni soykırımını inkarı suç sayan yasayı meclise taşıyor. Yasa onaylanırsa, ülkedeki 250 Türk politikacı ağır ceza alacak. Sözde Ermeni soykırımını inkar edenlere hapis cezasını gerektiren yasayı onaylayan Fransa'ya, dostu Belçika'dan destek geldi. Belçika Hükümeti, ırkçılık, rüşvet ve soykırım inkarcılığı (sözde Ermeni soykırımı) yapanlara, ağır cezalar verilecek yasayı parlamentoya taşıyor. 1 ay içinde parlamentoda oylanacak yasa kabul edilirse, ülkede siyaset yapan 250 Türk hapse girecek ve 5 ila 10 yıl arasında siyasetten men edilecek. Belçika Adalet Bakanı Laurette Onkelinx'un hazırladığı yasanın parlamentoda onaylanacağına kesin gözüyle bakılıyor. CEVAP VERMEDI Uzmanlar, bu kararın alınmasında en büyük nedenin Belçika Hükümeti'nin, Fransa'ya karşı bir jestte bulunma fikrinin yattığını söylüyor. Adalet Bakanı Onkelinx, 'soykırım inkarcılığı' maddesinin Ermeniler'i kastettiği konusundaki iddialara detaylı yanıt vermezken, yorumu basın mensuplarına bırakıyor Sizler için hazırladığımız ERMENİ SOYKIRIMI YOKTUR ! HEDEF BÜYÜK ERMENİSTAN adlı bu metni ekte bulunan BELÇİKA YETKİLİLERİNE gönderiniz. Fransızca, Flamanca, Ingilizce. Saygılarımla. Kenan Arı AUCUN GÉNOCIDE ! « SVP LE LIRE » CIBLE : GRAND ARMÉNIEN Chers Mme. et M. Comme pont entre l'Asie et l'Europe, avec ses détroits reliant la Mer Noire à la situation méditerranéenne et sa géopolitique à un point où l'Asiatique central, caucasien et milieu - les sources d'énergie normales orientales intersectent, la Turquie dessine l'attention du monde entier. L'empire de tabouret le passé et en Turquie actuellement a toujours été une arène pour laquelle des intrigues ont été incessamment conçues. Les superpuissances colonialistes souhaitant supprimer l'empire de tabouret du monde en le divisant n'ont pas manqué d'employer dans leurs arrangements également les Arméniens qui ont coexisté dans la paix avec les Turcs pendant tant de siècles. Il y a lieu aujourd'hui juste comme dans le passé, plusieurs pays tâchant de se fixer politiques et les avantages économiques aux dépens de la communauté arménienne. Des monuments accusant les Turcs et la Turquie de avoir commis le génocide sont érigés dans quelques pays ; des décisions entendant identifier le prétendu génocide sont introduites dans l'ordre du jour parlementaire dans plusieurs pays et même votées pour dans certains d'autres. Des issues qui doivent être laissées aux historiens sont transformées en moyens d'intérêt par les politiciens. Les Arméniens qui ont été évincés d'un endroit à l'autre, poussés dans des guerres, et traités en tant que troisièmement évaluent des citoyens dans toute l'histoire par le Romans, Persans et Byzantines. Après l'arrivée des Turcs dans Anatolie, ils ont tiré bénéfice du juste, humanitaire, tolérant et des traditions d'unification et croyance de leurs nouveaux voisins. La période qui a duré jusqu'à la fin du dix-neuvième siècle où l'apogée de ces développements et relations a été atteint, était l'âge d'or des Arméniens. En fait, les Arméniens étaient les bénéficiaires de loin les plus grands des occasions données par l'empire de tabouret aux citoyens tout travailleurs, capables, honnêtes et francs des communautés de non-Musulmans. Étant exempté du service militaire et largement de l'imposition, ils ont eu l'occasion de s'exceler dans le commerce, agriculture, l'art et l'administration et donc se sont correctement appelés « la nation fidèle » en raison de leur fidélité et capacité d'agir l'un sur l'autre avec les tabourets. Il y avait tant d'Arméniens qui ont parlé Turc, qui a même conduit leurs rites dans cette langue, qui s'est levé aux poteaux le plus élevé de service public tels que les ministères et les Sous-Secrétariats de l'état pour les travaux publics, la marine, les affaires étrangères, les finances, le trésor, les poteaux et le télégraphe et monnayer. Il y en avait qui a même écrit des livres dans des langues turques et étrangères sur les problèmes de l'empire de tabouret. Avec le début du déclin de l'empire de tabouret, les puissances européennes ont commencé à intervenir dans ses affaires et la dégénération est devenue évidente dans les relations Turc-Arméniennes paisibles. Le grand effort a été montré par les instigateurs que les puissances occidentales ont plantés dans l'empire de tabouret sous l'apparence de secrétaire, de créer un schisme entre les Turcs et les Arméniens dans les domaines religieux, culturels, commerciaux, politiques et sociaux. Ainsi, les désaccords sanglants ont surgi, dans lesquels l'émoussé de la douleur a été soutenu par les Turcs, et les milliers d'Arméniens et de Turcs ont perdu leurs vies dans les révoltes qui ont éclaté dans Anatolie oriental et ont écarté tout chemin vers Istanbul. Bien qu'il y ait eu beaucoup d'Arméniens combattant dans les armées de tabouret contre l'ennemi ou servant dans les rangs arrière pendant la Première Guerre Mondiale, un nombre considérable avait dégrossi avec les ennemis sur les battlefronts et les massacres lancés contre la population sans distinction des femmes, des enfants et de âgés. Leur péage était des centaines de milliers de musulmans et de ruine dans Anatolie oriental. Les mesures adoptées par l'empire de tabouret pour arrêter cette violence ont été présentées au reste du monde sous un léger complètement différent et les Arméniens, mal orientés par les promesses et l'instigation des puissances occidentales commencés pour miner le pays où elles avaient mené une vie privilégiée davantage que mille ans. Le Hinchak, le Tashnak, vers l'Arménie, les jeunes Arméniens, l'union et le salut, le Ramgavar, les paramilitaires, les sociétés en travers noires et le Comité révolutionnaire de Hinchak, qui ont été établis hors d'Anatolie, ont formé des organismes poussant les personnes pour une révolte armée. Ces activités étaient les soulèvements sanglants qui coûtent des milliers de Turc et l'Arménien vit. Pendant la Première Guerre Mondiale, l'empire de tabouret luttait contre les armées russes dans Anatolie oriental, où la révolte arménienne était à sa crête ; et également contre les forces arméniennes qui ont soutenu les Russes. D'une part, derrière les lignes il a dû continuer à lutter contre les guérilleros arméniens qui brûlaient les convois militaires turcs de villages et de villes et de attaquer et les renforts. Malgré cette violence, l'empire de tabouret a essayé de résoudre le problème arménien pendant des mois en prenant des mesures locales. En attendant, une opération a été faite contre les guérilleros arméniens et 2345 rebelles ont été arrêtés pour la trahison élevée. Quand il est devenu évident que la communauté arménienne était également dans la rébellion contre l'état, l'empire de tabouret s'est poursuivi par le dernier recours de remplacer seulement ces Arméniens dans la région qui a activement participé à la rébellion. Avec cette mesure, l'empire de tabouret a également prévu pour sauver les vies des Arméniens qui vivaient dans un milieu de guerre civile parce que les Turcs ont commencé à la contre-attaque les Arméniens qui avaient exécuté les atrocités sanglantes contre les communautés turques. Aujourd'hui, l'Arménie et quelques états en utilisant des Arméniens pour leurs avantages économiques et politiques ont lancé une campagne massive de propagande pour présenter la décision de remplacement et les arrestations du 24 avril comme génocide à l'opinion publique du monde. À la fin de la Première Guerre Mondiale, quand les armées des états alliés ont occupé l'empire de tabouret et les fonctionnaires britanniques parmi eux a arrêté les chefs du tabouret 143 et les intellectuels politiques et militaires pour « avoir commis des crimes de guerre vers des Arméniens » et les a exilés à Malte où une épreuve a été lancée. Cependant, l'examen minutieux massif fait sur le tabouret, les Anglais, les archives américaines afin de trouver l'évidence à pour incriminer ces 143 personnes n'a pas produit même le moindre iota de la preuve contre elles. En fin de compte, les détenus à Malte ont été libérés sans d'essai et même n'importe quel acte d'accusation en 1922. Les archives des Etats-Unis contiennent un document intéressant envoyé à seigneur Curzon le 13 juillet 1921 par M.R.C. Craigie, ambassadeur britannique à Washington. Le message était comme suit : « Je regrette de déclarer qu'il n'y a rien qui peut être employé comme évidence contre les détenus turcs à Malte. Il n'y a aucun événement qui peut constituer à preuves proportionnées. Lesdits rapports ne semblent pas contenir même la preuve indirecte qui pourrait être utile pour renforcer l'information tenue par le gouvernement de sa majesté contre les Turcs. » Le 29 juillet 1921, les conseillers juridiques à Londres ont décidé que les actes d'accusation prévus élaborés contre les personnes sur la liste du ministère étranger britannique étaient semi-politiques en nature et donc ces individus devraient être traités séparément des Turcs détenus comme criminels de guerre. Ils ont également énoncé ce qui suit : « Aucun rapport n'a été jusqu'ici reçu des témoins de sorte que les actes d'accusation prévus contre les détenus soient corrects. De même elle dont n'a pas besoin d'être redite la conclusion est témoin après que tellement longtemps un moment soit fortement douteux dans un pays à distance comme l'Arménie qui est accessible seulement avec de grandes difficultés. » Ce rapport a été fait également par aucun autres que les conseillers juridiques à Londres du gouvernement de sa majesté. Cependant, les efforts d'enduire l'image des Turcs des réclamations de génocide ne se sont pas terminés pendant que la pression britannique éditait certains documents essayant de prouver l'existence d'un massacre prétendu avoir été commis par l'empire de tabouret tandis que des efforts étaient faits de commencer un procès à Malte. On a affirmé que les documents ont été trouvés par les forces britanniques de métier en Syrie, menée par le Général Allenby. Les enquêtes plus tard faites par le Foreign Office britannique indiqué, cependant, que ces documents étaient des articles truqués ont préparé par la délégation nationaliste arménienne à Paris et distribuée aux représentants alliés. La Diaspora arménienne, qui n'a laissé aucune pierre unturned pour garder les réclamations de génocide à l'ordre du jour en dépit de tous ces faits, a recouru au terrorisme à la fin. La prétendue issue arménienne, qui a commencé à attirer l'attention du monde et de l'opinion publique turc par la campagne de barbouillage lancée par les Arméniens contre la Turquie après 1965, dans le `70s transformé en attaques de terroriste dirigées contre les représentations turques à l'étranger. En Santa Barbara le 27 janvier 1973, la première attaque individuelle de terroriste a été lancée par Gurgen appelé arménien âgé (Karekin) Yanikian. Il a assassiné Mehmet Baydur et Bahadir Demir, consul général et vice du consul turc à Los Angeles, et ces meurtres se sont transformés en campagne organisée après 1975. Les attaques contre les ambassades, les fonctionnaires et les établissements turcs à l'étranger ont graduellement intensifié. Une augmentation importante des attaques a été notée après 1979 où un malaise interne a commencé en Turquie. Les terroristes arméniens ont mis en scène un total de 110 attaques à 38 villes de 21 pays. 39 de ces actes ont été commis par de petits bras, 70 d'entre eux ont été réalisés par des bombes et on était un métier pure. 42 diplomates turcs et 4 étrangers ont été tués et 15 Turcs et 66 étrangers ont été enroulés dans ces incidents. Car ces actions ont reçu une réaction forte de l'opinion publique du monde, les organismes arméniens de terroriste ont changé leur tactique en 1980 et ont commencé à coopérer avec le groupe de terroriste de PKK qui a été poussé dans la scène par les attaques d'Eruh et de ªemdinli pendant que les ASALA et les opérations arméniennes étaient arrêtés. Les documents et l'évidence des camps de Beqaa et de Zeli prouvent que les militants de PKK et d'ASALA ont été formés là ensemble. Le succès réalisé par les forces turques de sécurité faites le terrorisme arménien poursuivent les prétendues réclamations de génocide par la Diaspora arménienne et tentative de faire le monde croire en existence d'un tel événement en induisant plusieurs parlements adopter les résolutions et les lois qui l'identifient. Le but de ces terroristes est de planter dans des esprits des personnes l'existence d'un génocide, pour forcer la Turquie à l'identifier, pour recevoir l'indemnité de Turquie et, en conclusion, pour saisir de Turquie que la terre a eue besoin pour réaliser le rêve de la grande Arménie. ________________________________________________ GEEN VOLKERENMOORD! „GELIEVE TE LEZEN“ DOEL: GROTE ARMENIËR Beste Mej. & M. Als brug tussen Azië en Europa, met zijn Detroit die de Zwarte Zee verbinden aan het Middellandse-Zeegebied en zijn geopolitieke situatie op een punt waar de Centrale Aziatische, Kaukasische en Van het Middenoosten natuurlijke energiebronnen snijden, trekt Turkije de aandacht van de volledige wereld. Het Ottoman Imperium in het verleden en Turkije is momenteel altijd een arena geweest waarvoor de intriges incessantly werden ontworpen. De colonialistgrootmachten die het Ottoman Imperium van de wereld wensen uit te roeien door te verdelen het slaagden niet er niet in om in hun regelingen de Armeniërs ook te gebruiken die in vrede met de Turken voor zo vele eeuwen coëxisteerden. Er zijn vandaag enkel als in het verleden, verscheidene landen die ernaar streven te beveiligen politieke en economische voordelen ten koste van Armeense gemeenschap. De monumenten die Turken en Turkije beschuldigen van volkerenmoord worden begaan te hebben opgericht in sommige landen; de besluiten die de zogenaamde volkerenmoord bedoelen worden te erkennen gebracht in de parlementaire agenda in verscheidene landen en voor in een anderen zelfs gestemd. De kwesties die aan historici moeten worden verlaten worden omgezet in middelen van zelfbelang door de politici. De Armeniërs die van één plaats aan andere werden verdrongen, in oorlogen, werden geduwd en aangezien derde tariefburgers de hele geschiedenis door door de Romeinen, Persians en de Byzantium werden behandeld. Na de komst van Turken in Anatolië, profiteerden zij van de juiste, menselijke, verdraagzame en verenigende tradities en de geloven van hun nieuwe buren. De periode die tot het eind van de negentiende eeuw duurde toen apogee van deze ontwikkelingen en relaties werd bereikt, was de gouden leeftijd van Armeniërs. In feite, waren de Armeniërs veruit de grootste begunstigden van de kansen die door het Ottoman Imperium aan alle industrious, geschikt, eerlijke en ongecompliceerde burgers van de nietmohammedaanse gemeenschappen worden geboden. Wordt vrijgesteld van de legerdienst en voor een groot deel van belastingheffing, hadden zij de kans om in handel, landbouw uit te blinken, werden het vakmanschap en het beleid en daarom terecht de „loyale natie“ wegens hun loyaliteit en capaciteit genoemd om met Ottomans in wisselwerking te staan. Er waren zo vele Armeniërs die Turks spraken, dat zelfs hun riten in deze taal leidde, die toenam tot hoogste openbare dienstposten zoals de Ministeries en de onder-Secretariaten van Staat voor de Openbare Werken, Marine, Buitenlandse Zaken, Financiën, Schatkist, Posten en Telegraaf en Minting. Er waren sommigen wie zelfs boeken in Turkse en vreemde talen op de Problemen van het Ottoman Imperium schreven. Met het begin van de daling van het Ottoman Imperium, begonnen de Europese bevoegdheden in zijn zaken tussenbeide te komen en de degeneratie werd duidelijk in de vreedzame Turks-Armeense relaties. De grote inspanning werd getoond door instigators die de Westelijke bevoegdheden die in het Ottoman Imperium onder administratief mom worden geplant, een schisma tussen Turken en Armeniërs op de godsdienstige, culturele, commerciële, politieke en sociale gebieden tot stand te brengen. Aldus, deden de bloedige conflicten zich voor, waarin bot van pijn door de Turken werd gedragen, en duizenden Armeniërs en Turken verloren hun leven in de opstanden die in Oostelijk Anatolië uitbraken en al manier aan Istanboel uitspreidden. Hoewel er vele Armeniërs die in de Ottoman legers tegen de vijand vechten of in de achterrangen tijdens de Wereldoorlog I dienen waren, had een aanzienlijk aantal met de vijanden op battlefronts en de gelanceerde slachtingen tegen de bevolking zonder onderscheid van vrouwen, kinderen en oud opgeruimd. Hun tol was honderdduizenden van Moslims en ruïne in Oostelijk Anatolië. De maatregelen die door het Ottoman Imperium worden goedgekeurd werden om dit geweld tegen te houden voorgesteld aan de rest van de wereld onder volledig verschillende licht en de Armeniërs, die door de beloften en de aansporing van de Westelijke Bevoegdheden wordt die zijn begonnen misleid om het land te ondermijnen waar zij het bevoorrecht leven meer dan duizend jaar hadden geleid. Hinchak, Tashnak, naar Armenië, de Jonge Armeniërs, de Unie en de Redding, Ramgavar, Paramilitaries, Zwarte de Dwarsmaatschappijen en het Revolutionaire Comité Hinchak, die uit Anatolië werden opgezet, vormden organisaties die de mensen voor een bewapende opstand aansporen. Deze activiteiten waren de bloedige opstanden die duizenden Turks en Armeens leven kostten. Tijdens Wereldoorlog I, vocht het Ottoman Imperium tegen Russische legers in Oostelijk Anatolië, waar de Armeense opstand bij zijn piek was; en ook tegen Armeense krachten die de Russen steunden. Enerzijds, achter de lijnen moest het blijven tegen Armeense guerilla's vechten die Turkse dorpen en steden en het aanvallen militaire konvooien en versterkingen brandden. Desondanks probeerde het geweld, het Ottoman Imperium om het Armeense probleem voor maanden op te lossen door lokale maatregelen te treffen. Ondertussen, werd een verrichting gemaakt tegen de Armeense guerilla's en 2345 rebellen werden gearresteerd voor hoog verraad. Toen het duidelijk werd dat de Armeense gemeenschap ook in opstand tegen de staat was, ging het Ottoman Imperium met het laatste redmiddel van het vervangen van slechts die Armeniërs in het gebied te werk dat actief aan de opstand deelnam. Met deze maatregel, bedoelde het Ottoman Imperium ook het leven van de Armeniërs te redden die in een middel van burgeroorlog leefden omdat de Turken begonnen om de Armeniërs in de tegenaanval te gaan die bloedige wreedheden tegen Turkse gemeenschappen hadden uitgevoerd. Vandaag, Armenië en sommige staten die Armeniërs voor hun economische en politieke voordelen hebben gebruiken een massieve propagandacampagne gelanceerd om het vervangingsbesluit en de 24 arrestaties van April als volkerenmoord aan de wereld publieke opinie voor te leggen. Aan het eind van de Wereldoorlog I, toen de legers van Verenigde Staten bezetten arresteerden het Ottoman Imperium en de Britse ambtenaren onder hen 143 Ottoman politieke en militaire leiders en intellectuelen voor „oorlogsmisdaden naar Armeniërs“ begaan te hebben en heeft verbannen hen aan Malta waar een proef werd gelanceerd. Nochtans, slaagde het massieve nauwkeurige onderzoek dat op de Ottoman, Britse, Amerikaanse archieven wordt gemaakt bewijsmateriaal te vinden om deze 143 personen te beschuldigen er niet in om zelfs minste jota van bewijs tegen hen te veroorzaken. Uiteindelijk, werden de gevangenen in Malta bevrijd zonder proef en zelfs enige aanklacht in 1922. De archieven van Verenigde Staten bevatten een interessant document dat naar Lord Curzon op 13 Juli 1921 door M.R.C. Craigie, de Britse Ambassadeur in Washington wordt verzonden. Het bericht was als volgt: „Ik betreur te verklaren dat er niets zijn die als bewijsmateriaal tegen de Turkse gevangenen in Malta kan worden gebruikt. Er zijn geen gebeurtenissen die adequate bewijzen kunnen vormen. De bovengenoemde rapporten schijnen om zelfs bewijsmateriaal geen door de omstandigheden te bevatten dat nuttig zou kunnen zijn om de informatie te versterken die door de Overheid van Zijn Majesteit tegen de Turken wordt gehouden.“ Op 29 Juli 1921, besloten de rechtskundige adviseurs in Londen dat de voorgenomen aanklachten die tegen de personen op de lijst van het Britse Buitenlandse Ministerie worden opgesteld van aard semi-politiek waren en daarom deze individuen gescheiden van de Turken zouden moeten worden behandeld die als misdadigers van oorlog worden vastgehouden. Zij verklaarden ook het volgende: „Geen verklaringen werden tot nu toe ontvangen van de getuigen teneinde de aanklachten die tegen de gevangenen zijn bedoeld correct zijn. Eveneens te hoeven men niet om te herformuleren dat vinden van getuigen na zo lang een tijd in een ver land zoals Armenië hoogst twijfelachtig is dat slechts met grote moeilijkheden.“ toegankelijk is Deze verklaring werd afgelegd ook door niets buiten de rechtskundige adviseurs in Londen van de Overheid van Zijn Majesteit. Maar toch eindigen de inspanningen om het beeld van Turken met volkerenmoordeisen te smeren niet aangezien de Britse pers bepaalde documenten publiceerde die het bestaan van een slachting te bewijzen die wordt geëiste proberen om door het Ottoman Imperium begaan te zijn terwijl inspanningen werden geleverd om een proces in Malta te beginnen. Men verklaarde dat de documenten door de Britse beroepskrachten in Syrië werden gevonden, die door Algemene Allenby wordt geleid. De onderzoeken die later door het Britse Buitenlandse geopenbaarde Bureau worden gemaakt, echter, dat deze documenten waren vervalst voorbereidingen getroffen door de Armeense Nationalistische Delegatie in Parijs en verdeeld aan de Verenigde vertegenwoordigers. Armeense Diaspora, die geen steen verliet unturned om de volkerenmoordeisen op de agenda ondanks al deze feiten te houden, zijn toevlucht nam tot terrorisme uiteindelijk. De zogenaamde Armeense kwestie, die begon om de aandacht van de wereld en de Turkse publieke opinie door de het smeren campagne aan te trekken die door de Armeniërs tegen Turkije na 1965, in de jaren '70 `omgezet in terroristenaanvallen wordt gelanceerd die tegen de Turkse vertegenwoordiging in het buitenland worden geleid. In Santa Barbara op 27 Januari, 1973, werd de eerste individuele terroristenaanval gelanceerd door een oude Armeense genoemde Gurgen (Karekin) Yanikian. Hij moord Mehmet Baydur en Bahadir Demir, Turkse Algemeen Consul en Consul van de Ondeugd in Los Angeles, en deze moorden werden een georganiseerde campagne na 1975. De aanvallen tegen Turkse ambassades, ambtenaren en instellingen intensifiërden in het buitenland geleidelijk aan. Een belangrijke verhoging van de aanvallen werd genoteerd na 1979 toen een interne ongerustheid in Turkije begon. De Armeense terroristen voerden een totaal van 110 aanvallen bij 38 steden van 21 landen op. 39 van deze handelingen werden begaan door kleine wapens, werden 70 van hen gerealiseerd door bommen en één was een openlijk beroep. 42 de Turkse diplomaten en 4 vreemdelingen werden gedood en 15 Turken en 66 vreemdelingen werden verwond in deze incidenten. Aangezien deze acties een sterke reactie van de wereld publieke opinie ontvingen, veranderden de Armeense terroristenorganisaties hun tactiek in 1980 en begonnen met de PKK terroristengroep samen te werken die in de scène door de aanvallen van Eruh en van ªemdinli als ASALA werd geduwd en de Armeense verrichtingen werden tegengehouden. De documenten en het bewijsmateriaal van kampen Beqaa en Zeli tonen aan dat de militanten PKK en ASALA daar samen werden opgeleid. Het succes bereikte door de Turkse veiligheidskrachten maakte het Armeense terrorisme de zogenaamde volkerenmoordeisen nastreven door Armeense Diaspora en proberen om de wereld te maken het bestaand van zulk een gebeurtenis geloven door tot verscheidene parlementen te bewegen om resoluties en wetten goed te keuren die het erkennen. Het doel van deze terroristen is in meningen van mensen het bestaan van een volkerenmoord te planten, om Turkije te dwingen om het te erkennen, schadevergoeding van Turkije te ontvangen en, definitief, van Turkije het land weg te rukken nodig voor het realiseren van de droom van Groot Armenië ______________________________________________________________ NO GENOCIDE ! “PLEASE READ” TARGET : GREAT ARMENIAN Dear Ms. & Mr. As a bridge between Asia and Europe, with its straits connecting The Black Sea with the Mediterranean and its geopolitical situation at a point where the Central Asian, Caucasian and Middle Eastern natural energy sources intersect, Turkey draws the attention of the entire world. The Ottoman Empire in the past and Turkey at present has always been an arena for which intrigues were incessantly designed. The colonialist superpowers wishing to eradicate the Ottoman Empire from the world by dividing it did not fail to use in their schemes also the Armenians who coexisted in peace with the Turks for so many centuries. There are today just like in the past, several countries striving to secure themselves political and economic benefits at the expense of Armenian community. Monuments accusing Turks and Turkey of having committed genocide are being erected in some countries; decisions intending to recognise the so called genocide are brought into the parliamentary agenda in several countries and even voted for in some others. Issues that need to be left to historians are turned into means of self interest by the politicians. The Armenians who were ousted from one place to the other, pushed into wars, and treated as third rate citizens throughout the history by the Romans, Persians and Byzantines. After the advent of Turks into Anatolia, they benefited from the just, humane, tolerant and unifying traditions and beliefs of their new neighbours. The period that lasted until the end of the nineteenth century when the apogee of these developments and relations was attained, was the golden age of Armenians. In fact, the Armenians were by far the greatest beneficiaries of the opportunities offered by the Ottoman Empire to all industrious, capable, honest and straightforward citizens of the non-Moslem communities. Being exempted from the military service and to a large extent from taxation, they had the opportunity to excel themselves in trade, agriculture, craftsmanship and administration and therefore were rightly called the “loyal nation” because of their loyalty and ability to interact with the Ottomans. There were so many Armenians who spoke Turkish, who even conducted their rites in this language , who rose to topmost public service posts such as the Ministries and Under-Secretariats of State for the Public Works, Navy, Foreign Affairs, Finance, Treasury, Posts and Telegraph and Minting. There were some who even wrote books in Turkish and foreign languages on the Problems of the Ottoman Empire . With the start of the decline of the Ottoman Empire, the European powers began to intervene in its affairs and degeneration became evident in the peaceful Turkish-Armenian relations. Great effort was displayed by the instigators whom the Western powers planted into the Ottoman Empire under clerical guise, to create a schism between Turks and Armenians in the religious, cultural, commercial, political and social fields. Thus, bloody clashes arose, in which the blunt of pain was borne by the Turks, and thousands of Armenians and Turks lost their lives in the revolts that broke out in Eastern Anatolia and spread all the way to Istanbul. Though there were many Armenians fighting in the Ottoman armies against the enemy or serving in the rear ranks during the World War I, a considerable number had sided with the foes on the battlefronts and launched massacres against the population without distinction of women, children and the aged. Their toll was hundreds of thousands of Moslems and ruin in Eastern Anatolia. The measures adopted by the Ottoman Empire to stop this violence were presented to the rest of the world under a completely different light and the Armenians, misguided by the promises and instigation of the Western Powers started to undermine the country where they had led a privileged life more than a thousand years. The Hinchak, Tashnak, Toward Armenia, Young Armenians, Union and Salvation, Ramgavar, Paramilitaries, Black Cross societies and Hinchak Revolutionary Committee, which were established out of Anatolia, formed organisations urging the people for an armed revolt. These activities were the bloody uprisings that cost thousands of Turkish and Armenian lives. During World War I, the Ottoman Empire was fighting against Russian armies in Eastern Anatolia, where the Armenian revolt was at its peak; and also against Armenian forces which supported the Russians. On the other hand, behind the lines it had to continue to fight against Armenian guerrillas that were burning Turkish villages and towns and attacking military convoys and reinforcements. In spite of this violence, the Ottoman Empire tried to solve the Armenian problem for months by taking local measures. Meanwhile, an operation was made against the Armenian guerillas and 2345 rebels were arrested for high treason. When it became evident that the Armenian community was also in rebellion against the state, the Ottoman Empire proceeded with the last resort of replacing only those Armenians in the region who actively participated in the rebellion. With this measure, the Ottoman Empire also intended to save the lives of the Armenians who were living in a medium of civil war because Turks started to counter-attack the Armenians who had performed bloody atrocities against Turkish communities. Today, Armenia and some states using Armenians for their economic and political benefits have launched a massive propaganda campaign to present the replacement decision and the 24 April arrests as genocide to the world public opinion. At the end of the World War I, when the armies of Allied States occupied The Ottoman Empire and the British officials among them arrested 143 Ottoman political and military leaders and intellectuals for “having committed war crimes toward Armenians” and exiled them to Malta where a trial was launched. However, the massive scrutiny made on the Ottoman, British, American archives in order to find evidence to incriminate these 143 persons failed to produce even the least iota of proof against them. In the end, the detainees in Malta were released without trial and even any indictment in 1922. The United States archives contain an interesting document sent to Lord Curzon on 13 July 1921 by Mr. R.C. Craigie, the British Ambassador in Washington. The message was as follows: “I regret to state that there is nothing that may be used as evidence against the Turkish detainees in Malta. There are no events that may constitute adequate proofs. The said reports do not appear to contain even circumstantial evidence that could be useful to reinforce the information held by His Majesty’s Government against the Turks.” On 29 July 1921, the legal advisers in London decided that the intended indictments drawn up against the persons on the British Foreign Ministry’s list were semi-political in nature and therefore these individuals should be treated separately from the Turks detained as criminals of war. They also stated the following: “No statements were hitherto received from the witnesses to the effect that the indictments intended against the detainees are correct. Likewise it does not need to be restated that finding witnesses after so long a time is highly doubtful in a remote country like Armenia which is accessible only with great difficulties.” This statement was made also by none other than the legal advisers in London of His Majesty’s Government. Yet, the efforts to smear the image of Turks with genocide claims did not come to an end as the British press published certain documents attempting to prove the existence of a massacre claimed to have been perpetrated by the Ottoman Empire while efforts were being made to start a lawsuit in Malta. It was stated that the documents were found by the British occupation forces in Syria, led by General Allenby. The inquiries subsequently made by the British Foreign Office revealed, however, that these documents were fakes prepared by the Armenian Nationalist Delegation in Paris and distributed to the Allied representatives. The Armenian Diaspora, who left no stone unturned to keep the genocide claims on the agenda despite all these facts, resorted to terrorism in the end. The so-called Armenian issue, which started to attract the attention of the world and Turkish public opinion through the smearing campaign launched by the Armenians against Turkey after 1965, in the ‘70s turned into terrorist attacks directed against the Turkish representations abroad. In Santa Barbara on January 27, 1973, the first individual terrorist attack was launched by an aged Armenian named Gurgen (Karekin) Yanikian. He murdered Mehmet Baydur and Bahadir Demir, the Turkish Consul General and Vice Consul in Los Angeles, and these murders turned into an organised campaign after 1975. The attacks against Turkish embassies, officials and institutions abroad gradually intensified. A major increase in the attacks was noted after 1979 when an internal unease started in Turkey. The Armenian terrorists staged a total of 110 attacks at 38 cities of 21 countries. 39 of these acts were committed by small arms, 70 of them were realised by bombs and one was an outright occupation. 42 Turkish diplomats and 4 foreigners were killed and 15 Turks and 66 foreigners were wounded in these incidents. As these actions received a strong reaction from the world public opinion, the Armenian terrorist organisations changed their tactics in 1980 and began to co-operate with the PKK terrorist group which was pushed into the scene by the Eruh and ªemdinli attacks as the ASALA and Armenian operations were stopped. The documents and evidence from Beqaa and Zeli camps show that the PKK and ASALA militants were trained there together. The success achieved by the Turkish security forces made the Armenian terrorism pursue the so called genocide claims through the Armenian Diaspora and attempt to make the world believe in the existence of such an event by inducing several parliaments to adopt resolutions and laws which recognise it. The goal of these terrorists is to plant into minds of people the existence of a genocide, to force Turkey to recognise it, to receive indemnity from Turkey and, finally, to snatch from Turkey the land needed for realising the dream of Great Armenia. cabinet@mod.mil.be ; agag@evppe.be ; apometron@terra.com.br ; b.staes@pi.be ; danilons1@uol.com.br ; dominique.lagae@versateladsl.be ; ducarme@prl.be ; editor@info-turk.be ; hb@skynet.be ; hrwatcheu@skynet.be ; marleenvanheusden@pi.be ; reper@reper-portugal.be ; rpit.uec@glo.be ; Ward.beysen@antwerpen.be ; belrep@belgoeurop.diplobel.fgov.be ; info@just.fgov.be ; philip.willekens@ibz.fgov.be ; a3@skynet.be ; adv.bijnens.luc@pi.be ; airnicol@ping.be ; alain.vandervelde@br.fgov.be ; alexandre.dulaunoy@ael.be ; Bart.Van.Ocken@biac.be ; belleflamme@core.ucl.ac.be ; ben.philipsen@pi.be ; bkest@ulb.ac.be ; bpauwels@ulb.ac.be ; chinglin.pang@ant.kleuven.ac.be ; chris.blondia@ua.ac.be ; contact@fccu.be ; crash13@yucom.be ; cvl@bernie.kbinirsnb.be ; 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